Elle ne voudrait jamais que je la laisse comme ça. "Pourquoi ne te lèves-tu pas", dit Charray, doucement, sans prévenir. Avec le gode bien serré entre ses jambes, je l'oblige, les pieds légèrement écartés. Charray me tient par les épaules, chuchote une confirmation rapide à la bouteille de lait au milieu de la pièce, puis me fait descendre lentement, ne voulant pas trop bouger avant que je ne casse. Ses bras autour de mon cou pendant ma chute me maintiennent un peu stable, je suppose. "Qui a joué avec tes tétons ?" dit Charray, avec un petit sourire et une pause. "Mère. "Je murmure. Charray joue avec moi, et transforme mon téton en une flaque de miel onctueux. Je sais que Charray le voit et l'avale, comme les points pâles et laiteux qu'une femme pourrait manger dans un bain. Charray me tire le haut plus ouvert, révélant un petit bleu bosselé à l'endroit où elle m'avait frappé. "Oh oui", dit Charray, et presse ses lèvres contre elle alors qu'elle s'agite de haut en bas sur ma poitrine. "C'est encore ton mamelon. Un bon mamelon. Il a un goût très sucré. Toujours comme ça. "Charray coupe le haut de mon sein avec sa paume et l'embrasse, juste un peu, puis elle tire de nouveau sur mon mamelon. "Tu peux sortir un peu de lait maintenant ?" Charray me demande, quand le gode est bien dans ma poche. "Suce-le. "Je la regarde. "Merci. "Je redescends la tête. "Tu es une mère merveilleuse, merveilleuse. .